Aboubacar Saïd Salim, doyen des écrivains comoriens, vient de s’en aller à 74 ans. « Fundi Abou » – comme l’appellent certains – compte des erreurs et des manquements des années post-soixante-huitardes. Son roman le plus connu […]
Aboubacar Saïd Salim, doyen des écrivains comoriens, vient de s’en aller à 74 ans. « Fundi Abou » – comme l’appellent certains – compte des erreurs et des manquements des années post-soixante-huitardes. Son roman le plus connu […]