Depuis quelques siècles que les Comoriens ont abandonné la toile de jute, le coton qu’ils tissaient grossièrement et les fibres de bananiers, la mode de l’archipel se nourrit de multiples importations. Résultat : une culture […]
Depuis quelques siècles que les Comoriens ont abandonné la toile de jute, le coton qu’ils tissaient grossièrement et les fibres de bananiers, la mode de l’archipel se nourrit de multiples importations. Résultat : une culture […]