Entretien croisé de trois auteurs des Comores. Mohamed Toihiri, le premier romancier de l’archipel, auteur de La république des imberbes aux éditions L’Harmattan en 1985. Salim Hatubou, consacré pour Contes de ma grand-mère, également paru […]

Entretien croisé de trois auteurs des Comores. Mohamed Toihiri, le premier romancier de l’archipel, auteur de La république des imberbes aux éditions L’Harmattan en 1985. Salim Hatubou, consacré pour Contes de ma grand-mère, également paru […]
Evoquer le destin des lettres comoriennes revient à tisser le récit mal-fagoté d’un imaginaire encore méconnu dans le vaste océan des écrits de ce monde. De Mohamed Toihiri à la génération d’auteurs la plus récente, […]
Panorama des écritures en langue française aux Comores. Trente années d’existence en quête de reconnaissance. Une littérature de la postcolonie, témoignant de la dépossession et de la violence politique et sociale[1]. La République des imberbes […]
D’une réalité violente au tableau d’une contre-utopie. La fiction littéraire comorienne dans son ensemble est profondément hermétique à l’idée futuriste. Il n’existe aucun texte de science-fiction. C’est un fait ! Or, la principale raison de ce fait, […]
L’écrivain et conteur comorien Salim Hatubou est décédé le mardi 31 mars à 43 ans. Auteur prolifique, il était connu pour être le grand défenseur de l’oraliture comorienne[1]. En cette année 2015, la littérature comorienne […]
Le plus prolifique des auteurs comoriens de la nouvelle génération. Né à Ngazidja en 1972, Salim Hatubou grandit dans les quartiers Nord de Marseille. Fervent défenseur de l’oralité, il connaît son premier succès avec Les […]
Une chronique reprise du journal Kashkazi de juillet 2006, publiée à l’occasion de la parution de Hamouro – un roman de Salim Hatubou – aux éditions L’Harmattan. Une fiction interrogeant l’affaire du même nom et, au-delà, […]
Salim Hatubou est l’écrivain de l’oralité. Ça ne se discute pas ! Mais, des étiquettes, il faut parfois s’en méfier. Elles peuvent vous maintenir dans une posture. Hatubou semblait de cet avis, lui qui s’était […]
On ne dira jamais assez que le verbe mène à tout. Il fut premier, donc commencement, donc renoncement, donc exécution capitale d’un silence, quelque part. Et voilà, que du haut d’un djabal, où des madones […]